nom? Spolier les peuples natifs "païens", au nom de la supériorité "chrétienne?" C'est cette réflexion qui est proposée et, une action symbolique, pour refuser que dure et perdure, ces guerres d'hégémonie faites par les tenants d'un dogme sectaire et spoliateur. Merci à JBL1960
Img/Robert FauqueEffaçons-les de nos mémoires, de nos cortex et à tout jamais !
Lorsque j’ai décidé de faire effacer mon nom du registre des baptêmes ;
Ce qui s’est révélé impossible puisque la justice française légitime encore aujourd’hui et malgré la loi de séparation de l’Église et de l’État de 1905 ; L’évènement historique que constitue le baptême qui se tient à la demande des parents d’enfants mineurs car il ne préjuge en rien de ce que seront leur conviction une fois parvenue à l’âge adulte, les laissant libres de leurs cheminements futurs. Cet évènement historique, le baptême et l’inscription du nom sur les registres, attestent en chaque acte, qui porte la signature de plusieurs témoins, un événement public et historique, indéniable. Et l’Église affirme que ce fait historique ne s’efface pas.
« Cet acte ne peut de ce fait être rendu illisible, ni être effacé. »
Les Archives de la Catholicité vous font remarquer alors, que le registre des baptêmes n’est pas publiquement consultable ni communicable. Et donc, il n’est pas accessible à des tiers.
Ce qui est totalement faux, puisque de nombreuses personnes, comme cet expatrié français travaillant en Allemagne, qui s’est affirmé athée et qui s’est vu ponctionné directement sur son salaire la somme de 550 € pour impôt sur le Culte parce que le Diocèse allemand a mené l’enquête et, constatant que cette personne avait été baptisée elle était donc « catholique » et devait l’impôt. Tenez, ce cas n’est pas inventé, il ne sort pas de mon imagination = http://www.lepoint.fr/economie/le-fisc- ... 253_28.php
Et il y a même une petite vidéo sur ce sujet :
Mais l’Église Catholique Romaine pousse même le vice en rappelant ceci :
« De plus la Cour de Cassation de Paris a rejeté le pourvoi le 19 novembre 2014. »
Voici l’Arrêt N° 1441 du 19 novembre 2014 (13-25.156) qui est consultable par tout le monde : https://www.courdecassation.fr/jurispru ... 30541.html
Enfin, le Secrétariat de l’Archevêché termine ainsi ; « Conformément à la position de la CNIL sur ce sujet, la seule chose qui puisse vous être proposée est d’effectuer une mention en marge du type « ne reconnait pas la valeur de son baptême » ou « a renié son baptême » ou tout autre formule similaire que vous voudrez bien nous transmettre. Ainsi les données vous concernant ne seront « ni inexactes, ni incomplètes, ni périmées » comme le requiert l’article 40 de la loi précitée. »
C’est donc tout ce que j’aurai obtenue, à savoir un extrait de mon certificat de baptême, en photocopie certifiée conforme à l’original avec la mention à la marge « A renié avec force et en conscience son baptême par lettre datée du XXXXX« .
Vous trouverez dans cette page de ce blog copies, modèles de lettres, transcriptions des échanges de courrier de cette entière affaire = https://jbl1960blog.wordpress.com/faire-tomber-lempire/
J’ai pris la décision de renier mon baptême en récusation des racines doctrinaires de la découverte chrétienne qui dès le XIIIème siècle sous le pape Innovent IV donna aux chrétiens l’autorité légale de circonvenir à la propriété non-chrétienne et aux droits de souveraineté.
J’ai demandé la radiation de mon nom du registre des baptêmes, en ces termes ;
Je refuse que mon nom, pour l’éternité, soit complice des crimes de sang faits au nom de votre Dieu, en tout temps et en tout lieu. Et je dénonce les fondements religieux des lois établies en regard des nations autochtones et qui prévalent encore aujourd’hui ; Soit l’affirmation de droit sur la doctrine chrétienne de la découverte dont le concept de titre par la découverte été fondé sur la même idées que les terres occupées par les païens et infidèles étaient ouvertes à toute acquisition pour les nations chrétiennes.
Parce que tout est fait en notre nom, une fois que l’on est baptisé !Et pour que ne résonne plus jamais, en notre nom, dans nos rues l’écho des nuits barbares… En notre nom ont été envoyés, au prétexte de lutte antiterroriste, nos soldats participer aux guerres néocoloniales atlantistes. Nos avions bombarder à tout-va hommes, femmes et enfants ressortissants d’Afghanistan, de Libye, de Côte d’Ivoire, de Centrafrique, du Mali, du Tchad, d’Irak, et à présent de Syrie. Le tout bien évidemment au nom des droits de l’homme. Et avec l’argent de nos impôts…
Parce que tout est fait en notre nom, une fois que l’on a voté !
Texte intégral « En notre nom » de l’auteur Zénon = https://jbl1960blog.files.wordpress.com ... 072016.pdf
Et nous avons une chance unique de faire tomber ces empires fantasmagoriques en leur retirant notre consentement.
Vous pouvez demander votre débaptisation, en masse, en récusation de la doctrine chrétienne de la découverte faisant ainsi tomber le dogme fantasmagorique pourtant appliqué depuis des siècles, issus de la bible, du « peuple élu », de la « Terre promise », de « droit divin » transformés séculairement dans le temps en « droit de domination » et aujourd’hui en « droit d’ingérence » (humanitaire bien sûr !). Mais la source n’en est pas moins factice, induite du mécanisme de l’exploitation de l’Homme par l’Homme qu’est le colonialisme intra et extra-muros. Placer son origine dans le religieux a décuplé son impact sur des générations et nous entrevoyons le bout du tunnel en faisant péter les verrous des dogmes et en faisant émerger la vérité historique par le truchement des travaux du Dr Ashraf Ezzat inclus dans ces billets sur ce blog :
Choisir entre la peste et le choléra ?
Ni Terre promise, ni Peuple élu…
Le Syndrome Messianique
Au pied du Mur…
Et des historiens et archéologues comme Sand, Pappe, Herzog, et Israël Shamir que j’ai intégré dernièrement dans ces billets :
NOUS AVANT TOUT !
QU’ATTENDONS-NOUS ?
Parce qu’ils rejoignent Steven Newcomb, d’Errico, Morris, Dunbar-Ortiz, Zinn, Means dans le même combat : Celui de la mise au grand jour de l’usurpation historique par la falsification et l’imposition d’une vision unique et dominatrice de justification du colonialisme.
Et cette racine religieuse fut sécularisée par le baptême !
Conversion par le baptême ou la mort !
Et la plupart du temps, c’était de toute façon la mort. Voilà pourquoi il est utile aujourd’hui d’appeler à la débaptisation en masse, parce que ça a du sens. Et qu’ainsi on atteste de notre volonté, nous les colons repentis, les occidentaux affranchis de toute idéologie coloniale d’initier un nouveau paradigme en lien avec TOUS les Natifs, Indigènes, Autochtones de la Planète et côte à côte, sur la même ligne.
Alors vous pouvez rejoindre ce Mouvement créé à mon initiative sur le blog Résistance71 et pour témoigner de votre action en débaptisation ou tout simplement soutenir l’intention, si vous trouver l’idée juste, et la relayer : https://resistance71.wordpress.com/abol ... ecouverte/
=*=Résistance au colonialisme : Le dogme religieux de la domination chrétienne au cœur de la loi fédérale américaine sur les Indiens (Steven Newcomb)
https://resistance71.wordpress.com/2016 ... en-newcomb
Lire notre dossier sur le colonialisme et la Doctrine Chrétienne de la Découverte
Parce que nous sommes tous colonisés et que l’avenir de l’humanité passe par les peuples occidentaux émancipés de l’idéologie colonialiste, se tenant debout, main dans la mais avec tous les peuples colonisés du monde, pour reconstruire ensemble de peuple à peuple, la société des sociétés organique dérivée moderne de la société humaine égalitaire du communisme primordial.
La domination chrétienne à la racine de la loi fédérale indienne (USA)
Steven Newcomb | 22 octobre 2016 | Url de l’article original : http://indiancountrytodaymedianetwork.c ... indian-law
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~En 1954, à l’ouverture de l’ère de l’extermination (NdT : un programme d’éradication des nations nord-amérindiennes fut mis en place aux USA entre 1953 et 1968, http://www.nrcprograms.org/site/PageSer ... tionpolicy ), le ministère de la justice des États-Unis délivra sa feuille de route légale à la Cour Suprême des États-Unis et donna plus tard un argument oral à la Cour sur cette base. L’affaire en référé devant la Cour était de savoir si la nation des Indiens Tee-Hit-Ton d’Alaska avait le droit de recevoir une compensation financière pour le bois pris sur son territoire par le ministère de l’intérieur du gouvernement des États-Unis.
LIRE L'ARTICLE COMPLET vous ne le regretterez pas et apprendrez beaucoup de choses!!